posted on 2021-01-07, 10:38authored byCourtney R Chang, Brooke M Russell, Paddy C Dempsey, Hannah E Christie, Matthew D Campbell, Monique E Francois
Clinical practice guidelines on physical activity and diabetes currently stipulate physical activity can be accumulated in bouts of ≥10 minutes to meet recommendations for health benefits. Individuals are also encouraged to interrupt prolonged sitting with brief activity breaks of ∼1 to 5 minutes in duration. Growing research highlights accumulating activity in shorter bouts across the day as a potential strategy to improve glycemic control and to help those who are largely sedentary meet physical activity guidelines. Research has shown favourable glycemic benefits for postprandial glucose and glycated hemoglobin with either 3 short (10 to 15 minutes) or frequent brief (1 to 5 minutes) bouts of activity spread around meals or throughout the day. To date, most studies examining accumulated activity were done with people with type 2 diabetes compared with sedentary conditions, were short term and measured various indices of glycemic control using continuous glucose monitoring. The 7 trials comparing accumulating 3 short bouts to a single bout showed comparable benefits for glycemic control (i.e. fasting glucose, 24 h mean glucose and postprandial hyperglycemia). Furthermore, timing short bouts around meals may improve postprandial glucose and hyperglycemia more than a single bout. It is unknown whether a threshold for the duration of accumulated bouts exists---that is, “how much is enough?” In this narrative review, we focus on the glycemic effects of physical activity accumulated in short or brief bouts for people with prediabetes and diabetes as compared with a single continuous bout. Given that poor adherence to physical activity recommendations and that fewer opportunities exist in modern societies for incidental (nonexercise) physical activity, accumulating activity may be a choice strategy for improving glycemic control in those with and at risk of diabetes.
Résumé
Les lignes directrices sur la pratique clinique en matière d’activité physique et de diabète stipulent actuellement que l’activité physique peut être cumulée en périodes de ≥ 10 minutes afin de respecter les recommandations en vue d’obtenir des bienfaits sur la santé. Les individus sont également encouragés à entrecouper les périodes prolongées en position assise par des pauses brèves d’une durée de ∼1 à 5 minutes pour faire une activité physique. De plus en plus de recherches mettent en évidence que le cumul de périodes plus courtes d’activité tout au long de la journée est une stratégie potentielle pour améliorer la régulation de la glycémie et aider les personnes très sédentaires à respecter les lignes directrices en matière d’activité physique. La recherche a montré que 3 périodes courtes (de 10 à 15 minutes) ou brèves fréquentes (de 1 à 5 minutes) d’activité réparties en fonction des repas ou tout au long de la journée ont des effets favorables sur la glycémie postprandiale et l’hémoglobine glyquée. Jusqu’à maintenant, la plupart des études qui portaient sur l’activité physique cumulée ont été réalisées auprès de personnes atteintes du diabète de type 2 par rapport à des conditions de sédentarité, étaient de courte durée et portaient sur l’évaluation de plusieurs indices de régulation de la glycémie au moyen de la surveillance de la glycémie en continu. Les 7 études qui portaient sur la comparaison du cumul de 3 périodes courtes à une seule période ont montré des effets bénéfiques comparables sur la régulation de la glycémie. De plus, la coordination de courtes périodes en fonction des repas peut davantage contribuer à l’amélioration de la glycémie postprandiale et de l’hyperglycémie qu’une seule période. On ignore s’il existe un seuil pour la durée des périodes cumulées, c’est-à-dire « Combien faut-il en faire pour en faire assez ? » Dans cette revue narrative, nous nous penchons sur les effets de l’activité physique cumulée en périodes courtes ou brèves par rapport à une seule période en continu sur la glycémie des personnes prédiabétiques et diabétiques. Étant donné que l’observance des recommandations d’activité physique est médiocre et qu’il existe moins de possibilités d’activité physique spontanée (autre que l’exercice planifié) dans les sociétés modernes, le cumul de l’activité physique peut être une stratégie de choix pour améliorer la régulation de la glycémie chez les personnes diabétiques ou exposées au risque de diabète.
History
Author affiliation
Department of Health Sciences, University of Leicester